Bâtiments sains

Bâtiments sains

Concevoir des bâtiments qui ne nuisent pas à la santé des occupants est la priorité que s’est fixée la société EDEIS. 

La qualité de l’air intérieur des bâtiments est devenue un enjeu de santé publique. Les logements, les espaces d’accueil du public et les locaux professionnels sont concernés par ce défi.

En partenariat avec l’IRES, EDEIS accompagne les promoteurs et les professionnels de l’immobilier pour limiter les risques de pollution de l’air et de l’environnement intérieur des bâtiments dès la phase de conception d’un bâtiment.

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est edeis-e1652355458574.jpg.

Une étude documentaire exhaustive

La conception d’un bâtiment sain commence bien avant les premières heures du chantier et se traduit par :
– L’évaluation de la pollution du sol par des solvants, des hydrocarbures et des éléments trace métalliques (ETM) ;
– L’évaluation de la qualité des eaux de distribution par l’étude de la pollution par les nitrates, les pesticides, les solvants et les bactéries ;
– Le choix de matériaux peu émissifs et ne contenant pas de substance reconnues dangereuses pour la santé est également essentiel et se traduit par :
+ L’étude documentaire des matériaux employés sur le chantier (FDS, FDES…)
+ L’analyse des matériaux pour compléter les données de l’étude documentaire (COV, COSV et ETM)
+ Des préconisations et des recommandations pour la phase chantier (aération, temps de séchage…)

Un audit complet à livraison

Une fois l’opération immobilière réalisée, un audit in-situ est programmé juste avant la livraison afin de connaître précisément l’impact du bâti sur la qualité de l’air intérieur. Il s’agit de mesurer les paramètres indicateurs de la QAI :
– Les particules fines (PM10 et PM2.5) ;
– Les Composés Organiques Volatils (COV) classés prioritaires par l’OQAI (jusqu’à 33 paramètres mesurés) ;
– Les Composés Organiques Semi-Volatils (COSV) fréquents dans les bâtiments comme les plastifiants (phataltes et bisphénols), les biocides, les retardateurs de flamme (jusqu’à 33 paramètres mesurés) ;
– les Eléments Trace Métalliques (ETM) ;
– Le dioxyde de carbone (CO2).

Un rapport complet est rédigé présentant le déroulement de l’audit, les résultats obtenus et leur comparaison par rapport aux valeurs de référence de la QAI.

Un audit complet en occupation

Une fois les occupants installés et les travaux de décoration terminés, un audit in-situ est programmé en occupation afin de connaitre d’une part la qualité de l’air intérieur lors de la phase d’occupation et d’autre part la part du bâtit sur la QAI. Cette phase se traduit par la mesure des particules fines (PM10 et PM2.5), des COV, des COSV, des ETM et du CO2.

Un rapport complet est rédigé présentant le déroulement de l’audit, les résultats obtenus et leur comparaison par rapport aux valeurs de référence de la QAI.

Cette étude de la QAI en occupation peut être complétée par la pose de capteurs connectés permettant de surveiller en temps réel l’évolution de la QAI dans le bâtiment et d’informer les occupants sur la QAI de leur logement.

Vous ambitionnez de construire un bâtiment sain ? N’hésitez pas à contacter EDEIS et l’IRES pour présenter votre projet et recevoir l’accompagnement d’une équipe d’experts de la qualité de l’air intérieur des bâtiments.